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Mon garage est le purgatoire des jouets de la petite enfance

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Comment jeter ce qui a tant compté? On a trié, vidé, rangé avant la rentrée... Comment font ceux qui se débarrassent des dessins, des jouets de leurs enfants sans un sursaut?

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Déborah Laurent
juil. 20, 2025
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Mon garage est le purgatoire des jouets de la petite enfance
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Si certains s’agitent début janvier et se disent que l’entrée dans la nouvelle année est l’occasion de repartir à zéro, moi, j’ai ce sentiment-là à la rentrée scolaire. On ne va pas se mentir: depuis que je suis mère, ma vie est rythmée par les horaires de mon fils. Quand la fin des vacances scolaires approche, je commence à m’emballer, à vouloir tout ranger. Vous allez peut-être me dire: avec quoi elle vient, les vacances viennent seulement de commencer. J’ai un peu d’avance sur vous: chez nous, la rentrée a lieu le 11 août.

Ça fait un an qu’on vit à Los Angeles dans un appartement deux chambres, lumineux, au cœur d’un quartier résidentiel très calme. On avait dans l’idée de prolonger notre bail d’un an, - la durée traditionnelle aux États-Unis -, mais on attendait de voir si on allait avoir une augmentation de loyer. Aux USA, elles peuvent être violentes. Bonne nouvelle: le management nous a la bonne, on peut rester une année supplémentaire au même prix. Cette fois, pas de déménagement, mais l’envie de s’ancrer.

Bienvenue dans la newsletter Transparente, la première newsletter en français qui parle des enfants qui grandissent et des parents qui essaient de suivre le mouvement. Je m’appelle Déborah, je suis maman d’enfant unique de 9 ans, ce n’est plus un petit mais pas encore un grand. Chaque dimanche, je vous raconte mes défis personnels, je lance des débats, je pose plus de questions que je n’ai de réponses. L’idée? Réfléchir ensemble à notre façon d’être mère, partager, et parfois même, confronter nos points de vue, poser des questions et surtout, surtout, se sentir moins seules.

C’est la première fois qu’on se sent chez nous quelque part depuis qu’on a quitté Bruxelles, en 2017. On a beaucoup vagabondé, changé de pays et de logement. On n’a jamais pris la peine de s’installer vraiment, de mettre des étagères ou des cadres au mur, ni même d’acheter des meubles qui nous plaisaient réellement. Ces dernières années, on s’est habitués au temporaire permanent. La Green Card nous a offert une stabilité mentale et physique. On peut enfin souffler, s’arrêter, contempler le paysage… et acheter des meubles à notre goût!

Le salon est mon nouveau chantier. Aussi bizarre que ça puisse paraître, je ne suis jamais dans mon salon. Depuis des années. Je n’ai jamais trouvé la pièce bien éclairée, ou assez cosy pour avoir envie de m’y poser. Mais peut-être que ça va changer? On a acheté un nouveau meuble et quand on l’a installé à la bonne place, on s’est rendu compte qu’on n’avait absolument aucune déco à poser dessus.

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