Après 3 jours d'école, je rêvais déjà de quitter le groupe WhatsApp des parents
Il faut qu'on parle des groupes WhatsApp des parents de la classe qui pourrissent la vie des parents qui en ont une.
C’est une question à laquelle il est impossible de répondre par la négative. Le traditionnel “Je t’ajoute au groupe des parents de la classe?” lancé joyeusement devant le portail de l’école, alors que les enfants viennent à peine d’endosser leur petit costume d’élèves, n’attend en fait pas de réponse. C’est une annonce publique. Une obligation, une astreinte, un impératif.
Les premières heures sont cordiales: on s’accueille, on se souhaite la bienvenue, on se présente. Le calvaire commence rapidement. Les notifications affluent à toute heure du jour et même parfois de la nuit. Il n’y a pas d’horaire, pas de week-end, pas de règles claires. On écrit quand on veut, ce qu’on veut.
Derrière l’écran lumineux de leur portable, les mères prennent le pouvoir.
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